LE PREMIER RDV

Comment cela se passe ?

Il s’agit de faire connaissance et d’instaurer un climat de confiance et de travail. Pour vous, c’est une façon de découvrir un cadre de travail, découvrir une personne, de vous faire une première idée afin de savoir si vous vous sentez à l’aise.

Pour moi, c’est l’occasion d’écouter votre demande et de voir comment je peux y répondre.

Il n’y a aucun engagement. Si le courant ne passe pas, si vous ne vous sentez pas encore prêt à parler, si vous avez besoin de temps pour réfléchir, si le cadre ou la méthode de travail proposée ne vous convient pas, il n’y aucune obligation de suivi. C’est vous et vous seul qui décidez quand, comment et avec qui engager une démarche. Seule la confiance permettra un travail serein et bénéfique

 

Le cadre

Les rendez-vous se passent en face à face, comme lors d’un entretien classique. Pas de divan et pas de nécessité de s’allonger. La durée d’une séance est de 45 à 50 mn

Le suivi

Le rythme et la durée des séances sont définis conjointement lors du premier rendez-vous et varient en fonction de votre situation, de votre demande et de votre disponibilité (2 à 4 fois par mois, sur quelques semaines ou quelques mois). Cela peut également évoluer au cours d’un même suivi

Les honoraires

Les honoraires pourront être fixés lors de la prise de rendez-vous ou lors de la première séance, au cas par cas. En tant que psychologue clinicienne, mes consultations ne sont pas remboursées par la sécurité sociale. En revanche, certaines mutuelles remboursent un forfait annuel de consultations; Tout dépend du contrat que vous avez souscrit. Renseignez-vous auprès de votre conseiller. Je délivre dans ce cas une attestation de suivi thérapeutique ainsi qu’un reçu d’honoraires. Paiement par chèque ou espèces –

Questions/Réponses

 

Voici un vrai/faux sur ce qui se passe dans le cabinet du psy, histoire de tordre le cou aux clichés et aux idées toutes faites.

 

« Le psychologue ne parle pas »

 

FAUX – L’image du psy qui écoute sans parler est celui du psychanalyste, qui reçoit ses patients sur un divan. Le psychologue n’est pas dans ce cadre. Il  parle, questionne, explique, éclaire et parfois contredit, dans un souci de faire prendre conscience à la personne de ses fonctionnements et pour l’aider à s’interroger toujours plus sur elle-même.

 

« Le psychologue va raconter à mon médecin (ou à la personne qui m’a orientée vers lui) ce qui se passe pendant les séances »

 

FAUX – Le psychologue est soumis au secret professionnel. Tout ce qui se dit pendant les séances est strictement confidentiel. Il n’a même pas à dire s’il reçoit ou non telle personne, si elle a pris ou non rdv, si elle vient ou non aux séances. Tout manquement est puni par la loi (sauf exception spécifique comme la divulgation d’un crime par exemple).

 

Avec l’accord de son patient, il peut cependant être amené à communiquer avec le médecin traitant par exemple pour l’informer qu’un suivi a été entamé et les modalités du travail mis en place (rythme, durée, etc…..).

 

Par ailleurs, le psychologue ne rédige aucune synthèse ni ne communique à qui que ce soit, le contenu des séances, un éventuel diagnostic ou tout autre élément concernant son patient et les motifs de la consultation, même sur la demande d’autres professionnels (avocats, travailleurs sociaux,….). Il ne peut que fournir une attestation indiquant qu’un travail personnel a été engagé et ce, bien sûr, avec le consentement libre et éclairé du patient.

 

« Je ne suis pas fou, je n’ai pas besoin d’un psy »

 

VRAI – Si vous visitez ce site, vous n’êtes certainement pas « fou » au sens psychiatrique du terme.

 

FAUX – Il peut arriver à tout un chacun de se retrouver en difficulté dans sa vie et avoir simplement besoin de parler (deuil, maladie, séparation ou divorce, chômage, agression, difficultés professionnelles, traumatismes anciens ou plus récents, crise d’angoisse, phobie,…).

Etre en souffrance ne signifie pas que l’on est fou ou « anormal ». Ce qu’on appelle « folie », correspond à la maladie mentale. Les psychologues en libéral ne traitent pas ou très peu ce genre de public, généralement suivi en milieu hospitalier.

La première démarche est de prendre rendez-vous pour vous faire votre propre opinion. Cela n’engage à rien.

 

« Je ne peux pas savoir si mon psychologue est réellement diplômé »

 

FAUX – Le titre de psychologue est protégé par la loi et son usurpation punie. De même, la loi oblige les psychologues à s’inscrire auprès des services de l’ARS (Agence Régionale de Santé, ancienne DASS). Cette inscription permet l’attribution d’un numéro « ADELI » permettant ainsi à toute personne qui le souhaite de vérifier la légitimité du professionnel. Mon numéro ADELI est le 769308214.

 

« Le psychologue n’est pas remboursé »

 

VRAI – Effectivement, le psychologue en libéral n’est pas remboursé par la sécurité sociale. Il est pris en charge lors de consultations hospitalières, dans un Centre Médico-Psychologique. Dans ce cas, cependant, le patient ne choisit pas son thérapeute et les délais d’attente peuvent être très longs.

Les mutuelles par contre peuvent rembourser tout ou partie des consultations privées. Tout dépend de la compagnie et du contrat souscrit.

 

« Le psychologue prescrit des médicaments »

 

FAUX – Le psychologue n’est pas un médecin. C’est le psychiatre qui prescrit des médicaments. L’outil de prédilection du psychologue est l’écoute. Il est formé spécifiquement à cela et surtout, la durée de la consultation lui laisse suffisamment de temps pour le faire dans les meilleures conditions possibles